Cessez-le-feu à Gaza, pour la protection du peuple palestinien, la paix et la justice au Proche-Orient
Manifestation Samedi 11 Novembre
à 14h30 Place de la République.
📍Angle Place de la République et Avenue de la République
Après les attaques terroristes du Hamas et face aux crimes de guerre de l’armée israélienne à Gaza, la mobilisation pour le cessez-le-feu et la protection du peuple palestinien, la paix et la justice au Proche-Orient.
L’UJRE invite tous ceux qui sont attachés à la reconnaissance mutuelle et à une paix juste, à nous rejoindre à la manifestation.
9 Novembre 1938 : un gigantesque pogrom lancé par les nazis dans toute l’Allemagne
Commémoration de la Nuit de Cristal
Sur le lieu de rassemblement des premieres rafles parisiennes, ce Jeudi 9 Novembre, devant le Gymnase Japy, dans le 11ème arrondissement de Paris, l’UJRE était présente pour commémorer la terrible “nuit de cristal”, du 9 et 10 Novembre 1938, ainsi nommée par les nazis qui s’appliquèrent à identifier les commerces et les habitations juives, avant de se lancer dans un gigantesque pogrom dans toute l’Allemagne.
Appel de l’UJRE avec un Collectif judéo-progressiste, humaniste et internationaliste
Le Proche-Orient souffre et nous préoccupe
Les victimes sont des civils
En notre qualité d’humanistes, nous tenons à exprimer notre profonde solidarité aux familles des victimes du conflit.
À ce jour les morts se comptent par milliers, d’un côté comme de l’autre de la frontière. L’augmentation quotidienne des pertes humaines nous préoccupe, ainsi que l’aggravation de l’escalade dans un proche avenir.
Le détonateur, cette fois-ci, a été l’attaque terroriste brutale de civils israéliens perpétrée par le Hamas, organisation terroriste, fondamentaliste, qui ne représente pas la totalité du peuple palestinien mais juste une partie de la population de Gaza.
Nous réprouvons et nous condamnons les assassinats, les séquestrations et les viols commis au sud d’Israël, et nous exigeons le châtiment des responsables de ces crimes. Nous exigeons le retour en vie de tous les otages qui servent de boucliers humains.
Nous condamnons aussi les conceptions fondamentalistes et théocratiques du Hamas. Nous n’acceptons pas la mise en cause, par quelque vision fondamentaliste que ce soit, de l’existence de l’État d’Israël. Elle constitue un obstacle majeur à la conclusion d’accords pacifiques et contribue à alimenter les politiques bellicistes.
Nous mettons en garde sur les conséquences tragiques et inhumaines, déjà observées par l’Organisation des Nations Unies, que la proclamation de l’état de guerre par l’État d’Israël entraînera pour la vie des civils palestiniens du fait qu’elle lui offre un cadre pour lancer une invasion terrestre imminente de Gaza. Nous affirmons qu’aucune circonstance ne justifie que des actes de guerre soient commis à l’encontre de la population civile.
Nous réitérons notre condamnation des politiques de ségrégation instrumentalisées par Israël. Il est impératif de mettre fin à l’occupation de la Cisjordanie et à la colonisation des territoires palestiniens, toutes choses qui provoquent et alimentent le conflit.
Le bombardement quotidien de la population civile de Gaza, le blocage de la fourniture d’électricité, d’eau, un siège qui n’autorise qu’un étroit couloir humanitaire pour l’entrée de denrées alimentaires ou le déplacement de personnes innocentes, tout cela est inhumain et constitue un crime de guerre. On ne peut pas condamner deux millions de personnes en raison des actions commises par un groupe extrémiste, sinon l’escalade de la violence n’aura pas de limite.
Le soutien inconditionnel de puissances internationales à ceux qui participent à l’escalade guerrière repose sur des considérations géopolitiques ou stratégiques, jamais sur des considérations humanitaires.
En notre qualité d’internationalistes juifs de nationalité argentine, brésilienne, canadienne chilienne, française et uruguayenne, nous soutenons l’exigence d’un cessez-le-feu immédiat émise par le Conseil de sécurité des Nations Unies, et d’une négociation permanente pour soutenir, surveiller et garantir le retour en vie des civils séquestrés et la fin du siège de Gaza.
Nous réitérons notre soutien aux résolutions de l’ONU qui reconnaissent deux États pour deux peuples, jouissant de tous les attributs de la souveraineté dans les limites de la ligne verte de 1967.
Pour que les deux peuples puissent compter sur des frontières sûres et reconnues, il est urgent qu’Israéliens et Palestiniens parviennent à un consensus en vue d’un bénéfice majeur : la coexistence pacifique. Notre soutien, notre adhésion ou notre engagement sont acquis à ceux qui travaillent jour après jour pour y parvenir.
Un effet déplorable de ce conflit est l’accroissement de l’antisémitisme, comme réaction injustifiable : les menaces s’intensifient sur les Juifs du monde entier, sous prétexte de l’argument simpliste et fallacieux qui prétend rendre «les Juifs» responsables des actes du gouvernement israélien, ce qui méconnaît que nous formons un ensemble pluriel et non uniforme. Nous contestons de même la prétention d’Israël à représenter les Juifs du monde entier.
De grâce, il est urgent de le reconnaître pour le comprendre : nous distinguons conceptuellement les «personnes juives», les «citoyens israéliens» et le «gouvernement de l’État d’Israël». Ignorer ces différences amène à méconnaître l’existence de communautés juives ayant des positions différentes, partout dans le monde, autant qu’ignorer l’existence d’une large citoyenneté arabo-israélienne.
Religion et culture juive ne se confondent pas non plus : il y a de nombreux Juifs laïques de par le monde, qui se prononcent, en particulier, pour la Paix et l’entente entre les peuples.
Cela est vrai pour les deux peuples : le Hamas ne représente pas la totalité du peuple palestinien. «Palestinien» ne veut pas dire «musulman», «musulman» ne signifie pas «islamiste», non plus qu’«islamiste» n’est synonyme d’«arabe». La diversité des peuples naît de la possibilité de rencontres. Il est de la responsabilité de chacun d’être prévenu contre ce type de préjugés.
Les gouvernements doivent prendre la ferme décision d’éduquer à la Paix. Celle-ci est tangible : elle se concrétise par l’éducation à une coexistence harmonieuse, à la diversité culturelle, à l’action locale, dans les hôpitaux, les routes, les récoltes, les aqueducs, les habitations, les industries ; par un bien-être généralisé, par la sécurité, par la construction d’une vie digne.
Pour cela, nous disons non à la guerre, oui à la paix !
Pour la vie.
5 novembre 2023
Collectif judéo-progressiste, humaniste et internationaliste:
- Asociación Cultural Israelita de Córdoba (Córdoba, Argentine)
- Asociación Cultural Israelita Dr. Jaime Zhitlovsky (Montevideo, Uruguay)
- Asociación Cultural y Deportiva Israelita Argentina I. L. Peretz de Santa Fe (Santa Fe, Argentine)
- Asociación Sholem Buenos Aires (Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine)
- Associação Scholem Aleichem (Río de Janeiro, Brésil)
- Centro Cultural Israelita de Mendoza (Mendoza, Argentine)
- Centro Cultural Israelita I. L. Peretz de Lanús (Buenos Aires, Argentine)
- Centro Cultural Israelita Rosario (Rosario, Argentine)
- Centro de Documentación y Biblioteca Pinie Katz (Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine)
- Centro Literario Israelita y Biblioteca Max Nordau (La Plata, Argentine)
- Estamos Aqui! (Porto Alegre, Brésil)
- ICUF-Federación de Entidades Culturales Judías de la Argentina (Argentine)
- IFT Idisher Folks Teater – Teatro Popular Judío (Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine)
- Judeus Progressistas de Curitiba (Curitiba, Brésil)
- Llamamiento Argentino Judío (Argentine)
- Observatório Judaico dos Direitos Humanos no Brasil (Brésil)
- UJRE – Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (France)
Signatures: https://forms.gle/DkJjghUJKhD4yVW89
Les personnes, institutions et organisations signent en accord avec les déclarations et positions émises dans le document commun émis par le Collectif judéo-progressiste, humaniste et internationaliste.
Nous invitons ceux qui se sentent concernés par son contenu à y ajouter leur signature pour que notre voix résonne dans le monde.
Nous ne permettons pas que l’on parle en notre nom ni que l’on nous assimile à des voix hégémoniques qui ne représentent pas nos positions.
Manifestons pour la paix avec l’intersyndicale francilienne
Après l’attaque terroriste du Hamas en Israël, le gouvernement Netanyahou qui n’a pas su protéger les civils et les kibboutzim a adopté une attitude vengeresse et choisit l’escalade de la violence.
De jours en jours, la situation se dégrade à Gaza, les bombardements aériens, comme le blocus total, causant inévitablement nombre de victimes civiles.
Les Palestiniens de Cisjordanie sont encore eux aussi menacés et victimes de la violence criminelle d’ultras de l’extrême-droite israélienne.
Nous entendons faire entendre avec clarté notre engagement de toujours pour la paix et la justice.
Pour un cessez-le-feu immédiat, la recherche de la libération des otages du Hamas et pour une juste solution de paix, nous nous joignons à la manifestation organisée par l’intersyndicale francilienne, ce mardi 24 octobre 2023, à 18h Place de la République à Paris
Déterminés face à l’obscurantisme meurtrier !
Déterminés face à l’obscurantisme meurtrier !
Le métier d’enseignant, particulièrement tourné vers les autres, est l’un de ceux qui composent les piliers de toute démocratie. Par l’éducation à l’esprit critique, base de toute démarche de connaissance scientifique, mais aussi par l’éveil aux valeurs de l’humanisme, la transmission de la mémoire et par la sensibilisation aux données esthétiques, il contribue de façon essentielle à donner aux êtres humains auxquels il s’adresse les caractéristiques de citoyenneté. Il dispense donc bien plus qu’une « formation », plutôt une véritable structuration de l’être humain.Ce sont ces caractéristiques qui sont mises en cause dans les lâches attentats dont ont été victimes deux professeurs, Samuel Paty il y a trois ans et Dominique Bernard vendredi dernier, assassinés dans le cadre de leur courageuse fonction éducative.
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE) assure les enseignants de son soutien et de sa solidarité ; elle adresse à la famille de Dominique Bernard, comme à celle de Samuel Paty, à leurs proches et leurs élèves, ses plus profondes condoléances.
Aucune concession ne doit être faite à l’obscurantisme meurtrier.
UJRE, 17/10/2023
Pas d’amalgame entre Résistance et Barbarie
Dans la nuit du 7 octobre, le Hamas a lancé une attaque terroriste de très grande ampleur en attaquant l’état d’Israël par la terre, la mer, le ciel, le tout accompagné d’une pluie de roquettes.
Cette attaque a causé la mort de plus de 1 200 personnes, militaires et civils, femmes, enfants, personnes âgées, a blessé plus de 2 000 personnes et a permis l’enlèvement de près de 200 personnes essentiellement composées de civils, de femmes et d’enfants de diverses nationalités.
Les images diffusées sur les télévisions et les réseaux sociaux montrent l’atrocité et la barbarie des conditions dans lesquelles les tueries se sont déroulées.
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE) condamne, sans aucune réserve, ces crimes abominables.
L’UJRE condamne également sans réserve la façon dont le gouvernement d’extrême droite israélien réagit, adoptant une posture vengeresse. Le blocus total de la bande de Gaza, accompagné des bombardements effectués sans relâche, font surtout des victimes civiles. L’intervention armée au sol devant intervenir de façon imminente, mettra en outre en danger la vie des Gazaouis et des otages, autant que celle des soldats exposés dans une périlleuse bataille urbaine.
Nous ne pouvons pas non plus nous empêcher de rappeler que les gouvernements israéliens qui se sont succédés depuis une vingtaine d’années n’ont eu de cesse que de bafouer les centaines de résolutions des Nations Unies, de favoriser la création sans cesse de nouvelles colonies, d’imposer une discrimination inhumaine au peuple palestinien vivant en Cisjordanie occupée, accompagnée de violences et d’assassinats, avec une accélération des provocations de l’extrême droite israélienne, dans les colonies et sur l’esplanade de la mosquée Al Aqsa (plus de 200 palestiniens tués en 2023).
La communauté internationale, la France en particulier, se doit de réagir de toute urgence après qu’elle a gentiment glissé sous le tapis la question palestinienne depuis plus de vingt ans, sans contrarier ni condamner la volonté d’Israël d’annexer la Cisjordanie et sans créer les conditions d’une reprise de dialogue avec les représentants de l’Autorité palestinienne, seule organisation susceptible de pouvoir négocier une paix juste, durable avec comme socle une solution à deux États, et ce dans le respect des résolutions de l’ONU.
Cela passe par la reconnaissance d’un État palestinien, la fin du blocus opéré sur la bande de Gaza, le début de la décolonisation et le respect de la population palestinienne vivant en Cisjordanie.
UJRE, le 12/10/2023
L’UJRE condamne l’attaque terroriste du Hamas
Le bureau de l’UJRE condamne avec la plus grande fermeté l’attaque terroriste du Hamas qui s’en prend directement à la population civile d’Israel.
Soutien au peuple israélien.
Soutien à toutes les initiatives en faveur de la paix entre le peuple palestinien et le peuple israélien.Nous partageons la déclaration de Fabien Roussel: https://www.pcf.fr/attaque_inacceptable_du_hamas
Libération de Paris : dévoilement de la plaque aux Éditions de Minuit
Vendredi 25 Août à 11h15,
88 boulevard de l’Hôpital (75013 Paris)
A l’occasion du 79ème anniversaire de la Libération de Paris, se joignant à l’appel du Comité Parisien de Libération, l’UJRE vous invite à participer à la cérémonie préparée par la Ville de Paris et sa direction des affaires culturelles, les travaux des historiens, les archives de Paris et du Musée de la Résistance nationale à Champigny (fonds Robert Doisneau), le Comité parisien de la Libération, en assistant au dévoilement de la plaque hommage à Claude Oudeville, à Vercors et Pierre de Lescure, figures de la Résistance intellectuelle et populaire.
Commémoration des victimes de la répression du 14 juillet 1953
70ème Anniversaire : Commémoration des victimes de la répression du 14 juillet 1953
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), qui en son temps a combattu contre la colonisation et pour la Paix en Algérie, soutient le Collectif du 14 juillet 1953 pour la commémoration du 70e anniversaire de la répression, dramatiquement oubliée, contre un cortège de militants algériens à Paris (6 Algériens et un Français tués et près de 50 blessés par balle), et vous invite aux événements que celui-ci organise :
Le 13 juillet :
- 18h30 – Commémoration à Nation devant la plaque, place de l’Île de la Réunion (colonne du trône côté 12ème) en présence des familles de victimes. Prises de paroles de Mme la Maire du 12ème, d’historiens et de militants, puis dépôt de gerbes.19h45 – Exposition photographique, au kiosque place de la Nation, retraçant ce drame de la colonisation.20h15 – Lecture théâtralisée, au kiosque place de la Nation, des débats à l’Assemblée Nationale du 15 juillet 1953 sur cette manifestation. Débat houleux entre la gauche, la droite et l’extrême droite. Suivi d’un réquisitoire d’ Arié Alimi, avocat, qui dénoncera le scandale de l’impunité et l’absence de justice.21h15 – Minuit Une animation musicale, moment festif pour clôturer la soirée au kiosque place de la Nation.
Le 14 juillet :
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Rassemblement à 11h. Place de la Bastille, pour renouer avec le défilé populaire du 14 juillet pour honorer la Révolution française (au lieu du seul défilé militaire), défilé qui avait lieu depuis 1935 à son interdiction en 1954.
Le documentaire de Daniel Kupferstein, Les Balles du 14 juillet 1953, rappelle l’évènement. Résumé : Au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution Française, la police parisienne charge un cortège de manifestants algériens. Sept personnes (6 algériens et un français) sont tuées et une centaine de manifestants blessés dont plus de quarante par balles. Un vrai carnage. Cette histoire est peu connue en France comme en Algérie. Ce film est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie. Enquête au jour le jour, pour retrouver des témoins, pour faire parler les historiens, pour reprendre les informations dans les journaux de l’époque, dans les archives et autres centres de documentation afin de reconstituer au mieux le déroulement de ce drame mais aussi pour comprendre comment ce mensonge d’Etat a si bien fonctionné.
DVD (15€) à commander à https://www.daniel-kupferstein.com/contact.
Jenine: ne pas se résigner à l’état de guerre !
Ne pas se résigner à l’état de guerre !
Jenine, ville située au nord de la Cisjordanie occupée par Israël, compte quelques 40 000 habitants et des camps de réfugiés palestiniens regroupant près de 20 000 personnes.
Malgré le contrôle permanent de l’armée israélienne, Jenine, qui est sous l’administration de l’Autorité palestinienne depuis la signature des accords d’Oslo en 1994, dispose d’une relative autonomie.
La ville de Jenine ainsi que sa région subit comme l’ensemble des territoires occupés un développement permanent des colonies israéliennes, favorisé par le gouvernement israélien d’extrême droite. Au prétexte que les camps de réfugiés hébergeraient des « nids terroristes », l’armée israélienne a procédé pour la deuxième fois cette année à une incursion sanglante dans la ville et les camps de réfugiés.
En janvier de cette année, l’intervention de Tsahal avait déjà provoqué une dizaine de victimes et des dizaines de blessés.
Mi-juin, cette nouvelle incursion qui s’est enfin « terminée » le 5 juillet, appuyée par des bombardements et par la destruction de dizaines d’habitations, a causé au moins dix morts palestiniens, plus de cent blessés et 3 000 évacuations de réfugiés palestiniens qui ont fui les camps.
Ces interventions militaires qui font un grand nombre de victimes civiles contribuent de fait à un enchaînement de violences, en partie dues à la volonté des colons qui se font justice eux-mêmes et attisent les réactions de mouvements palestiniens qui, en réponse, envoient des roquettes sur l’État hébreu à partir de Gaza.
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), mouvement juif, laïque et progressiste, fidèle aux valeurs de la Résistance qui ont présidé à sa création, condamne avec fermeté ces incursions extrêmement violentes et ces provocations qui contribuent au développement de la colonisation dans les territoires occupés et repoussent sans cesse l’éventuel processus de paix juste qui permettrait la création d’un État palestinien aux côtés de celui d’Israël, ces deux États pouvant prospérer en paix dans le cadre d’une reconnaissance mutuelle.
UJRE, le 7 juillet 2023