Communiqués

Communiqués de Presse et Appels

  • Cécile Rol-Tanguy, grande figure de la Résistance, nous a quittés le 8 mai 2020

    Cécile Rol-Tanguy, le 9 avril 2005. Photo Francine Bajande

    Le Comité parisien de la Libération (COPIL), dont l’UJRE est membre, nous informe du décès de Cécile Rol Tanguy survenu ce 8 mai alors que nous célébrions tous le 75ème anniversaire de la victoire sur le nazisme. Nous reproduisons ci-dessous le communiqué de la famille que nous avons reçu à cette occasion et qui retrace la longue vie de résistance et de lutte qu’elle mena aux côtés de Henri Rol-Tanguy, chef des FFI d’Île de France. Elle l’avait rencontré alors que tous deux participaient à la campagne de solidarité avec l’Espagne républicaine. Ils étaient ensemble au poste de commandement de Rol, place Denfert-Rochereau, pendant les combats de la libération de Paris. C’est elle qui dactylographia l’appel à l’insurrection : Tous aux barricades !

    L’UJRE adresse ses condoléances à la famille de Cécile et à tous ses proches.

    La famille Rol-Tanguy communique:

    Née Cécile LE BIHAN le 10 avril 1919, elle était la fille unique de François LE BIHAN, ouvrier électricien, militant du Parti Communiste Français depuis sa création en 1920 et dirigeant syndical de la CGT, déporté-résistant mort à Auschwitz en 1943 et de Germaine JAGANET, femme au foyer et résistante, elle aussi. L’engagement de Cécile ROL-TANGUY date de 1936, du Front Populaire et de la guerre d’Espagne.

    C’est au Syndicat des Métaux CGT de Paris, où elle est employée, qu’elle rencontre Henri TANGUY, dirigeant des métallos parisiens, combattant volontaire dans les Brigades Internationales aux côtés de la République espagnole attaquée par Franco. Ils se marient en 1939, juste avant la guerre durant laquelle il est mobilisé en première ligne.

    Dès la fin juin 1940, alors qu’elle vient de perdre leur premier enfant, Françoise, le jour de l’entrée de la Wehrmacht dans Paris, elle rejoint ce qui deviendra la Résistance. Elle tape des tracts, des journaux syndicaux et autres documents illégaux de la CGT interdite et travaille pour les avocats communistes qui défendent les premiers emprisonnés du régime de Vichy.

    Le 18 août 1940, elle accueille Henri TANGUY à Paris, tout juste démobilisé. Le jour même, elle le met en contact avec les cadres clandestins de la CGT. Quatre ans plus tard, jour pour jour, elle tapera l’ordre de l’insurrection parisienne que son mari – devenu le colonel ROL, Chef militaire régional des FFI de l’Ile de France – lui dictera à l’aube de la semaine insurrectionnelle victorieuse de la capitale.

    Entretemps, le couple a plongé dans la clandestinité dès octobre 1940. Elle vivra alors, aux côtés de son époux dont elle est l’agent de liaison, la vie clandestine des résistants. Elle donnera aussi le jour – en mai 1941 et novembre 1943 – à deux enfants, Hélène et Jean.

    Elle participera à la semaine insurrectionnelle de Paris du 19 au 26 août 1944, au cœur de la décision et de l’action, dans le PC souterrain du Colonel ROL, sous la place Denfert-Rochereau. Elle sera la seule femme présente quand le Général De Gaulle recevra l’État-Major des FFI d’Île-de-France, le 26 août 1944 à l’Hôtel de Ville. Cécile et Henri Rol-Tanguy, avec Lucie et Raymond Aubrac, resteront comme les deux couples symboles de la Résistance intérieure française. Après-guerre, elle donnera naissance à deux autres enfants, Claire (1946) et Francis (1953) et demeurera l’indispensable collaboratrice de son mari.

    Jusqu’à son dernier souffle, Cécile ROL-TANGUY témoignera de sa fidélité à l’utopie généreuse du communisme, à ses engagements de jeunesse pour la justice sociale et l’émancipation des femmes.

    À la suite de son mari, décédé en 2002, Cécile était également Présidente de l’ANACR (Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance) et Présidente d’Honneur de l’ACER/AVER (Amis des Combattants en Espagne Républicaine / Amicale des Volontaires en Espagne Républicaine). Jusqu’en 2014, elle animera régulièrement des échanges sur la Résistance avec des collégiens et lycéens. Enfin, en août 2019, elle assistera aux cérémonies du 75 e anniversaire de la Libération de Paris.

    Monteaux, le 8 mai 2020

  • Paulette Sarcey

    Disparition de Paulette Sarcey, 4 Mai 2020

    Paulette Sarcey, lors de son arrestation le 25 mars 1943 (Copyright : Archives de la Préfecture de la police de Paris / FRAPP_GB188_468). © Archives de la Préfecture de la police de Paris

    C’est avec une immense tristesse que nous avons appris ce lundi 4 mai, la mort de Paulette Sarcey à l’âge de 96 ans. Paulette, comme l’appelaient familièrement tous ses amis de l’UJRE, de MRJ-MOI, et de l’AACCE, était née le 11 avril 1924 à Paris de parents immigrés juifs polonais. Son père avait fui les persécutions et la répression syndicale et politique contre les militants d’extrême gauche, en Pologne.  A ses enfants Michou et Claude, à ses proches et tous ses amis et camarades de l’UJRE, de l’AACCE et de MRJ-MOI, dont elle était jusqu’à quelques mois une active militante, nous présentons nos condoléances les plus émues.   Nous reviendrons plus longuement dans nos prochaines publications sur la vie de cette femme hors pair déportée à Auschwitz-Birkenau, par le convoi 55, le 23 juin 1943. Avec Paulette Sarcey, nous perdons la dernière des mémoires militantes de la résistance juive de la MOI. A sa libération d’Auschwitz en mai 1945, elle travaillera 18 mois pour la CCE avant son départ pour les États-Unis . Pour lui rendre hommage, voici une vidéo tournée chez elle à Montreuil le 20 octobre 2015, où elle raconte comment après sa libération des camps, elle s’est retrouvée à la CCE (Commission Centrale de l’Enfance) au 14 rue de Paradis.

  • 8 Mai : 75ème anniversaire de la capitulation de l’Allemagne nazie

    8 Mai 2020 : 75ème Anniversaire de la capitulation de l'Allemagne nazie
    8 Mai 2020 : 75ème Anniversaire de la capitulation de l’Allemagne nazie

    8 MAI 1945 – 8 MAI 2020

    Il y a 75 ans, le 8 mai 1945, la capitulation sans condition du IIIe Reich marquait la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe et la victoire sur l’Allemagne nazie. Les célébrations des 8 et 9 mai se trouvent bouleversées cette année par la pandémie du coronavirus. Soixante-deux nations ont combattu dans cette guerre d’une ampleur sans précédent qui a entraîné la mort de 50 millions de personnes. Plus de la moitié d’entre elles étaient soviétiques. L’URSS supporta ainsi l’essentiel de l’effort de guerre pendant près de 4 ans.

    à l’occasion du 75ème anniversaire de la victoire sur le nazisme,En Occident et en Europe centrale, on s’ingénie aujourd’hui à réécrire l’histoire, comme cet ambassadeur américain qui attribue la libération d’Auschwitz aux USA ! De même le Parlement européen n’a-t-il pas voté le 19 septembre dernier une résolution renvoyant dos à dos l’Allemagne hitlérienne et l’Union soviétique ? La vérité est que Berlin fut prise par la seule Armée rouge et que sans elle, il n’y aurait pas eu de capitulation allemande le 8 mai 1945.

    Malgré le confinement actuel, l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide, née en 1943 afin d’unifier dans la lutte pour la libération totale de la France la Résistance juive, issue en particulier de la M.O.I. (Main d’œuvre Immigrée), vous appelle à rendre hommage ce 8 mai aux résistants qui ont permis aux chefs des armées américaine, soviétique, anglaise, française, de recevoir la capitulation, sans condition, de l’Allemagne nazie.

    Cet hommage, s’il ne peut cette année être public, est possible à titre individuel, comme vous le verrez ci-dessous dans l’appel du Comité parisien de la Libération dont nous sommes membre, et que nous soutenons tout naturellement, comme nombre d’associations représentatives de la Résistance.

    Cet appel a déjà reçu de nombreux retours favorables. Ainsi, avec l’UJRE, MRJ-MOI, l’AACCE, l’Association Nationale Anciens Combattants de la Résistance, l’Association Républicaine des Ancien Combattants, l’Association de défense des Valeurs de la Résistance, l’Amicale Châteaubriant Voves Rouillé Aincourt, Amis des Combattant en Espagne Républicaine, l’Association Nationale des Familles de Fusillés et Massacrés, l’Association des Fusillés du Mont Valérien, Mémoire des Résistants Juifs de la Main d’Oeuvre Immigrée, le Comité départemental du souvenir des fusillés de Châteaubriant et Nantes et de la Résistance en Loire-Inférieure, le Comité Local de Châteaubriant et le Comité Local d’Indre, le Mouvement de la Paix, Mémoires Vives, L’Institut d’Histoire Social de la CGT qui a diffusé dans tous le réseau des instituts territoriaux et professionnels, l’Institut d’Histoire social des CGT des cheminots qui appelle tous ses correspondants locaux à prendre des initiatives dans et autour des centres ferroviaires.

    Hommage aux 3 frères Engros et à leur mère
    Hommage aux 3 frères Engros et à leur mère, à l’occasion du 75ème anniversaire de la victoire sur le nazisme, le 8 mai 2020. Plaque commémorative du 18 rue des écouffes, Paris 4ème
  • Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation

    Chaque année le dernier dimanche d’avril cette Journée nationale honore la mémoire des millions d’êtres humains victimes de la déportation dans les camps nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Cette date est proche de celles de la découverte de la plupart des camps par l’Armée Rouge et les armées alliées et de la révélation de l’ampleur de l’extermination. A l’heure où les derniers témoins de cette tragédie historique disparaissent, transmettre ce qui s’est passé est une préoccupation constante de toutes les fondations et associations de mémoire.

    En cette période de confinement les rassemblements commémoratifs sont impossibles. La communication par Internet joue un rôle essentiel pour nous permettre de rendre hommage à tous les déportés sans distinction et à toutes les victimes du nazisme. Ainsi, malgré la situation nous continuons à lutter contre le négationnisme, contre l’antisémitisme et le racisme, contre toute idéologie menaçant la dignité humaine et la liberté.

    C’est en ce sens que nous honorons la mémoire de tous les déportés, de toutes les victimes, de tous les héros.

  • 19 avril 1943 – Le ghetto de Varsovie se soulève

    Le plan de liquidation totale de la population juive, conçu par les autorités nazies, a été mis à exécution à Varsovie en 1943. Le ghetto juif est encerclé par les soldats et SS allemands et par les policiers polonais, puis incendié sur ordre du général SS Jürgen Stroop, son commandant. Menée par des jeunes, la résistance clandestine juive déjà organisée et la population juive se soulèvent pendant un mois contre les oppresseurs. Les insurgés juifs mènent un combat héroïque, les forces sont inégales, les moyens de combat disproportionnés. L’insurrection du ghetto de Varsovie s’achèvera tragiquement le 16 mai 1943.

    « Le rêve de ma vie s’est réalisé. L’autodéfense du ghetto est une réalité. La résistance juive armée et la vengeance armée se matérialisent. Je suis témoin du merveilleux combat des héros juifs » écrit dans sa dernière lettre Mordechaï Anielewicz, qui dirigea la révolte du ghetto.

    Acte de dignité, ces héros avaient choisi leur mort : debout, les armes à la main. Les bourreaux voulaient étouffer leur  cri, mais cette tragédie absolue devint le symbole de l’esprit de résistance des Juifs.Dans l’Europe occupée, la France sera le premier pays où la presse clandestine de la section juive de la MOI diffusera le message de cette révolte : « L’horrible massacre de Varsovie (…) bouleversera la conscience humaine et alertera tous les peuples opprimés»(éditorial du 14 juin 1943 du journal clandestin du MNCR, “J’accuse“).

    Il nous incombe à tous de rappeler la résistance des insurgés du ghetto, leur lutte pour la dignité et la liberté, et de perpétuer cet esprit de résistance.

    Restons vigilants : « Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde ».

  • En Allemagne, encore un attentat criminel


    Jusqu’à Quand? Jusqu’à Quoi?

    Le 2 juin 2019 un terroriste néonazi assassinait chez lui l’homme politique allemand CDU/CSU Walter Lübcke, parce qu’il défendait la politique d’accueil des réfugiés.  

    Le 9 octobre 2019, jour de la fête juive de Yom Kippour, un attentat antisémite (avec répercussions parmi des personnes d’origine turque) avait lieu contre la synagogue de Halle- sur- Saale en Allemagne : deux morts et deux blessés graves sont à déplorer. L’auteur se revendiquait lui même comme antisémite, négationniste, néonazi et antiféministe.

    Hier, 19 février 2020, un attentat a été commis à Hanau, en Allemagne. La fusillade visait des bars tenus par des Kurdes. Elle a fait neuf victimes décédées et cinq blessés graves. L’auteur, d’extrême droite, a reconnu par un écrit ses motivations xénophobes.

    Si l’Allemagne n’est pas le seul pays d’Europe centrale dans lequel se développe une idéologie antisémite, xénophobe et raciste, c’est dans ce pays qu’ont eu lieu les actes les plus meurtriers.

    L’UJRE manifeste sa solidarité avec les victimes.

    Elle dénonce la responsabilité, en Europe, de tous les dirigeants qui, pratiquant une politique incapable de satisfaire les besoins sociaux de leurs concitoyens, tentent de détourner la colère populaire vers des boucs émissaires en flattant les sentiments identitaires et nationalistes sous des formes diverses.

    Elle invite toutes les forces démocratiques en Europe à se mobiliser pour faire barrage avant que la vague raciste et antisémite ne les submerge.

     

     

  • Projection du film "Pas en mon nom"

    Pas en mon nom !

    Ce samedi 8 Février, en présence de son réalisateur, Daniel Kupferstein, avec Rony Brauman et Bernard Bloch, le film “Pas en mon nom” a été projeté dans le local de l’UJRE, 14 rue de Paradis, où, même en se serrant, notre salle était trop petite pour l’affluence. Nous prévoyons donc, une nouvelle projection dans nos locaux ou dans une salle plus grande.

    Le débat qui a suivi la projection était passionnant, bien sûr, on en parlera dans la prochaine Presse Nouvelle Magazine (PNM).

    Autour d’un pot, de fraternelles discussions avec les amis d’associations engagées dans les combats communs pour les droits humains, contre le racisme, pour la Paix, comme avec ceux qui nous découvraient, ont conclu chaleureusement la soirée.

     http://www.daniel-kupferstein.com/projections/219-pas-en-mon-nom-a-paris-10

     

     

  • Coronavirus et mémoire de la rue Brûlée

    Peste noire et Péril jaune

    Il semble que le coronavirus chinois réveille les stéréotypes racistes envers les asiatiques. Cela nous rappelle qu’en 1349, à Strasbourg, tous les juifs de la ville furent enfermés dans une rue qui fut délibérément incendiée, ce qui fit de nombreuses victimes. Cette rue s’appelle encore aujourd’hui « rue Brûlée ». Le motif en fut la Peste noire qui a déferlé sur l’Europe à partir de 1347. Elle épargnait les juifs, en raison sans doute de leur hygiène et de leurs pratiques alimentaires. Ils furent du coup accusés d’avoir empoisonné les puits.

    Or on apprend avec effarement que, du fait de l’épidémie du coronavirus, plusieurs personnes asiatiques ont récemment fait l’objet en France d’insultes et d’agressions.

    L’UJRE leur affirme sa solidarité. Elle veut croire que les auteurs d’agression, coupables d’infraction à la loi, seront arrêtés et punis. Elle demande aux pouvoirs publics de diffuser l’information indispensable à éclairer la population et d’effectuer les mises au point suffisantes pour prévenir la propagation d’un racisme anti Asiatiques, qui va croissant depuis le début de l’épidémie.

  • RFI: Paulette Sarcey, juive, communiste, résistante à Auschwitz

    Dimanche 26 Janvier 2020, 11h10 

    “La Marche du monde”, diffusée sur Radio France International en direct ou en différé, nous permettra de réécouter  un entretien de 48 minutes avec Paulette Sarcey, déportée à Auschwitz à 19 ans et résistante.

    Paulette Sarcey, lors de son arrestation le 25 mars 1943 (Copyright : Archives de la Préfecture de la police de Paris / FRAPP_GB188_468). © Archives de la Préfecture de la police de Paris

    Paulette Sarcey, lors de son arrestation le 25 mars 1943 (Copyright : Archives de la Préfecture de la police de Paris / FRAPP_GB188_468). © Archives de la Préfecture de la police de Paris

    Paulette, élevée dans les milieux de ce qui deviendra l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide après la guerre, entre en Résistance à Paris à 16 ans avec les jeunes juifs communistes de la MOI (Main d’Œuvre Immigrée). Avec une cinquantaine de ces jeunes, Paulette est arrêtée, torturée, internée à Drancy et envoyée vers le camp de la mort d’Auschwitz. Elle se joint à la résistance organisée dans le camp. Après la marche de la mort, elle est libérée et rentre à Paris en 1945 où elle retrouve sa famille.

    Dès lors, elle tient à s’occuper des enfants juifs rescapés, des orphelins. Elle milite au sein du Parti Communiste Français et au sein de l’UJRE, elle milite pour la justice, pour la paix, contre l’antisémitisme, contre le racisme. Elle témoigne de manière remarquable auprès des jeunes, dans les lycées, les collèges.

    Elle est toujours membre honoraire du Bureau de notre UJRE et nous la remercions pour tout ce qu’elle est.

    Ce témoignage accompagnera aussi le DVD du documentaire “Cité de la Muette” présenté par Ciné Archives le 5 Février 2020 dans l’auditorium de la Mairie de Paris.

    Nous vous invitons à écouter cette émission à la radio et à venir voir ce film remarquable « Cité de la Muette » à l’Hôtel de Ville de Paris.

  • Ciné Archives: Cité de la Muette

    Drancy : cité de la Muette, ancien camp d'internement

    Drancy : cité de la Muette, ancien camp d’internement et centre de déportation vers le camp d’extermination d’Auschwitz

    La “Cité de la Muette” réquisitionnée pour devenir le camp d’internement de Drancy a fait l’objet d’un extraordinaire documentaire produit par Ciné Archives et Périphérie. Relayant l’invitation d’Anne Hidalgo, Maire de Paris et de son adjointe chargée de la Mémoire et du Monde Combattant, Catherine Vieu-Charier, l’UJRE recommande d’assiter à la projection qui en sera faite à l’Hôtel de Ville de Paris.

    Mercredi 5 février 2020 à 18 heuresà l’Auditorium de l’Hôtel de Ville

    Anne HIDALGO, Maire de Paris
    Catherine VIEU-CHARIER, Adjointe à la Maire de Paris chargée de la mémoire et du monde combattant, Correspondant Défense
    Danielle TARTAKOWSKY, Présidente de Ciné-Archives
    vous prient de bien vouloir assister à la projection, suivie d’un débat, du documentaire « Cité de la Muette » de Jean-Patrick LEBEL en présence de nombreux témoins.

    Inscription obligatoire au 01 40 40 12 50 ou rsvp@cinearchives.org

    Cette invitation personnelle sera demandée à l’entrée
    Entrée : 5, rue de Lobau – Paris 4 e
    Métro : Hôtel de Ville

    Carton d’Invitation à imprimer