• Rencontre-débat avec Jean-Charles Szurek

    Nous avons le plaisir, avec nos Amis de la Commission Centrale de l’Enfance (AACCE), et de Mémoire des Résistants Juifs de la M.O.I. (MRJ-MOI), de vous inviter :
    Samedi 15 juin 2024 à 14h30
    14 rue de Paradis – 75010 Paris

    à la rencontre-débat avec Jean-Charles Szurek autour de son livre
    Gabriel Ersler
    Des Brigades internationales aux prisons soviétiques, l’autre « Orchestre Rouge »

    Pour ses amis des Brigades internationales, devenus de hauts responsables politiques dans les démocraties populaires, leur compagnon, le docteur Gabriel Ersler, avait disparu au cours de la Seconde Guerre mondiale. Ce n’est pas sans surprise qu’ils le voient revenir en 1956, après
    douze ans de détention dans les prisons soviétiques. Mais il reste muet sur ces années-là, ainsi que sur la période de la guerre. Interrogé par le sociologue Jean-Charles Szurek au cours de trois étés (1985, 1986, 1987), Gabriel Ersler accepte, au soir de sa vie, de livrer le secret qui a
    bouleversé son existence, la création d’un réseau de renseignement au profit de l’Union soviétique dans le sud de la France, de 1942 à 1944, et le prix qu’il en a payé : son emprisonnement en URSS.
    Ce livre apporte un éclairage nouveau et rare sur les réseaux de renseignement soviétique en France pendant la Seconde Guerre mondiale, surtout celui de Robert Beck, et sur les prisons staliniennes, en particulier la prison de Vladimir.

    Inscription indispensable à mrjmoi@mrj-moi.com

  • Un acte antisémite abject

    UN ACTE ANTISÉMITE ABJECT

    Dans la nuit du lundi 13 au mardi 14 mai 2024, le mur des Justes, situé au Mémorial de la Shoah dans le 4e arrondissement de Paris, a été tagué de mains rouges.

    Cet acte antisémite abject, fait référence au lynchage immortalisé par une photographie restée célèbre, montrant un Palestinien, brandissant ses mains ensanglantées suite au lynchage de deux soldats israéliens assassinés et démembrés le 12 octobre 2000, à Ramallah, par un groupe de palestiniens.

    Ce vandalisme intervient un 14 mai, date de la rafle du billet vert à Paris, en 1941 où près de 6 500 hommes, âgés de 18 à 60 ans, étaient convoqués pour « motif d’examen de situation », avant d’être internés dans des camps du Loiret et exterminés pour la plupart à Auschwitz-Birkenau.

    Ce mur, intégré dans le Mémorial de la Shoah, comporte le nom de plus de 3 900 Justes qui ont aidé à sauver des Juifs du régime nazi lors de la Seconde Guerre mondiale.

    l’UJRE condamne avec la plus grande fermeté cette profanation et réclame avec vigueur que les autorités fassent la lumière et condamnent les coupables de façon exemplaire.

  • Le 10 mai 2024, Olga Bancic, on n’oublie pas…

    Olga Bancic, on n’oublie pas…

    A l’initiative de Laurence Patrice, adjointe à la Maire de Paris, en charge de la Mémoire et du monde combattant, en présence de Sylvie Zaidman, directrice du musée de la Libération de Paris- musée du général Leclerc-musée Jean Moulin, vendredi 10 mai 2024, 80 ans après l’exécution d’Olga Bancic dans la cour de la prison de Stuttgart, une délégation de l’UJRE et de MRJ-M.O.I. s’est retrouvée devant le 114 rue du Château, Paris 14ème arrondissement.

    C’est à cette adresse qu’Olga Bancic a vécu et qu’une plaque a été apposée en 2013 pour évoquer cette résistante, juive, roumaine ( elle était née en Bessarabie), communiste, membre du bataillon parisien des FTP-M.O.I dans lequel elle a géré le dépôt d’armement et organisé la distribution des armes aux combattants.

    Mais le 16 novembre 1943, lors de la troisième filature, le jour où Manouchian et Epstein sont arrêtés, elle est, elle aussi, interpelée. Torturée, elle est restée muette. Inculpée lors du procès du « groupe Manouchian » qui s’est tenu du 15 au 18 février 1944, à huis clos, à l’hôtel Continental à Paris, elle a été, avec 22 de ses compagnons, condamnée à mort.
    Le 21 février 1944, dans la clairière du Mont-Valérien, 22 des « accusés », compagnons d’armes d’Olga Bancic sont fusillés.

    Parce que les Allemands avaient pris pour règle de ne pas exécuter de femme en France, Olga Bancic, elle, sera transférée dans la prison de Stuttgart, où elle sera guillotinée le 10 mai 1944, le jour de ses 32 ans.

    Le 9 mai 1944, elle a écrit une lettre à sa fille, Dolorès :

    « Ma chère petite fille, mon cher petit amour. Ta mère t’écrit la dernière lettre ma chère petite. Demain à cette heure le 10 mai je ne serai plus là. Mon amour, ne pleure pas, ta mère ne pleure pas non plus. Je meurs avec la conscience tranquille, et avec toute la conviction que demain tu auras une vie et un avenir plus heureux et plus tranquille que ta mère…. »

    Une brassée de fleurs rouges pour honorer la Mémoire de cette grande Dame…

     

  • Exposition : les fusillés de l’Affiche Rouge

    L’UJRE, l’AACCE et MRJ-MOI ont le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition “les fusillés de l’Affiche Rouge”

    Samedi 4 Mai 2024 à partir de 17h30

    14 rue de Paradis, 75010 Paris

    en présence de

    • Thomas Fontaine, directeur des projets du MRN, commissaire de l’exposition
    • Sabine Pessier, vice-présidente du MRN
    • les deux auteurs de la BD qui dédicaceront leur ouvrage (voir ci-après)

    À l’occasion de l’entrée au Panthéon de Missak Manouchian, le Musée de la Résistance Nationale (MRN) s’associe avec les éditions Dupuis et l’ONaCVG pour proposer une exposition en lien avec l’album de bande dessinée Missak, Mélinée et le groupe Manouchian, les fusillés de l’Affiche Rouge (scénario de Jean David Morvan, dessin de Thomas Tcherkézian).

    L’exposition s’appuie sur des planches ou des cases de la bande dessinée pour décrire le parcours de ces hommes et de ces femmes que l’Histoire et la Mémoire ont retenu comme les étrangers de l’Affiche Rouge.

    En retraçant leurs destins c’est la place des étrangers dans la résistance que l’on met en lumière. À partir de documents d’archives, de photographies et de témoignages, l’exposition évoque les membres du groupe Manouchian, les FTP-MOI et plus largement le rôle des résistants étrangers en France occupée.

    Cette exposition sera ensuite visible, toujours au 14 rue de Paradis, de 15h à 18h30:

    Lundi 6, Mardi 7, Mardi 14 et Jeudi 16 mai 2024

    Pour le vernissage du Samedi 4 mai 2024, inscription indispensable en écrivant à mrjmoi@mrj-moi.com

  • 81ème anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie

    L’UJRE, l’AACCE et  MRJ-MOI vous invitent à la

    Commémoration du 81ème anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie

    Dimanche 28 Avril 2024, 15h30

    14 rue de Paradis, Paris 10ème

    • Accueil
    • Projection du film documentaire “les petits héros du Ghetto de Varsovie” (59 min) de la réalisatrice Chochana Boukhobza
    • Discussion
    • Pot de l’amitié

    Le nombre de places étant limité, l’inscription préalable est indispensable en écrivant à:  mrjmoi@mrj-moi.com

  • Solidaires de Julian Assange en danger

    Avec Julian Assange

    Le sort de Julian Assange nous préoccupe. Celui qui a permis de faire émerger des outils journalistiques de première importance pour faire la lumière sur les obscures manipulations financières des champions de l’évasion fiscale, de la corruption et des trafics en tous genres est en danger. Son état de santé est préoccupant et la menace d’une extradition aux Etats-Unis d’Amérique, malgré le manque de charges, n’est toujours pas écartée par la justice britannique qui se montra plus clémente avec le général Pinochet qui, lui, était visé par un mandat d’arrêt international.
    Aussi nous relayons le dernier communiqué du Comité Assange après la session de la Haute Cour britannique et nous invitons à vous joindre à nous pour toute initiative visant à la libération de Julian Assange.

    Communiqué du Comité Assange:
    La Haute Cour britannique a donc rendu sa décision ce matin concernant la recevabilité de son ultime appel au Royaume-Uni pour empêcher l’extradition vers les États-Unis. Le jugement (de 66 pages), apparemment en demi-teinte, n’est pas facile à interpréter. Il offre un répit mais s’inscrit dans la continuation du calvaire judiciaire que subit Julian Assange depuis 14 ans.Les deux juges de la Haute Cour ont ouvert la voie à un appel mais de façon limitée, celui-ci porterait sur les trois points suivants (les avocats du fondateur de WikiLeaks en avaient présenté neuf pour motiver le rejet de l’extradition) :

    • violation du droit à la liberté d’expression (si Assange ne bénéficie pas aux États-Unis de la protection du premier amendement de la Constitution) ;
    • risque de préjudice en raison de la nationalité (si Assange ne bénéficie pas, en tant qu’Australien, des mêmes droits qu’un citoyen états-unien) ;
    • les poursuites engagées par les États-Unis exposent Assange à la peine de mort (le département de la Justice US a pour l’instant refusé de s’engager à garantir qu’il ne serait en aucun cas exécuté – cf. cet article).

    Dans le même temps, la Haute Cour invite Washington à présenter d’ici le 16 avril des « garanties » sur ces trois points. Il s’agit de «rassurer» la justice britannique. Souvenons-nous que les États-Unis avaient remporté un appel en décembre 2021 contre le jugement de première instance (qui avait refusé l’extradition) en soumettant de telles « garanties », celles-ci étant considérées comme très peu fiables par de nombreux observateurs avisés.

    Si Washington adresse à la Haute Cour des engagements analogues, une audience aura lieu le 20 mai à l’issue de laquelle on devrait savoir si Julian Assange est oui ou non définitivement autorisé à présenter son ultime appel. Si les États-Unis ne présentent pas de « garanties » ou le font d’une façon jugée non satisfaisante, le fondateur de WikiLeaks sera automatiquement autorisé à faire appel.

    On comprend de tout cela que l’extradition redevient possible dans deux mois.Dans ses déclarations, l’équipe de défense de Julian Assange a signifié qu’elle était mécontente de la décision. Stella Assange est apparue particulièrement outrée. Il y a de quoi. La Haute Cour a en effet rejeté, entre autres, la nature politique des poursuites contre le fondateur de WikiLeaks et le risque que l’extradition ne viole plusieurs de ses droits fondamentaux (droit à un procès équitable, droit à la vie, droit de pas être soumis à des traitements cruels ou inhumains).

    De plus, la décision de la Haute Cour refuse aux avocats d’Assange la possibilité de présenter de nouveaux éléments lors de l’appel. Ils ne pourront donc pas faire valoir l’espionnage d’origine états-unienne dont Julian Assange fut la cible dans l’ambassade d’Équateur à Londres et les projets de kidnapping/assassinat qui ont circulé au sein de la CIA lorsque Michael Pompeo en était le directeur.Les deux juges ont estimé que ces plans étaient sans rapport avec la procédure d’extradition puisqu’ils ne sont plus d’actualité (ils écrivent que la CIA craignait à l’époque une fuite vers la Russie) et que s’il était extradé, le journaliste australien ne risquerait plus d’être kidnappé ou assassiné par l’agence puisqu’il se trouverait légalement en détention aux États-Unis…

    Une fois encore, Kafka est battu avec l’affaire Assange.Il est dans l’essence du lawfare (instrumentalisation politique de la justice) de faire durer au maximum le supplice judiciaire et ses conséquences tout en maintenant (de très loin) les apparences de l’État de droit. L’assassinat au ralenti d’un prisonnier politique se poursuit. Comme l’a dit à de nombreuses occasions Stella Assange, cette affaire est à 1% juridique et à 99% politique. La mobilisation ne doit donc pas faiblir, il nous faut informer et alerter sans relâche tant que Julian Assange ne sera pas libre. Il s’agit pour l’instant d’empêcher l’extradition mais la seule issue juste c’est la libération, l’abandon des poursuites et l’indemnisation.

    Nous vous tiendrons au courant de la suite, notamment quant aux rassemblements à prévoir. Et nous annoncerons prochainement une grande conférence sur le thème « l’affaire Assange du point de vue du droit ». Tout un programme.
    À très bientôt donc,
    Comité français de soutien à Julien Assange

  • Communiqué: sur la manifestation du 8 mars pour les droits des femmes

    L’UJRE condamne les violences qui ont émaillé à Paris la manifestation du 8 mars pour les droits des femmes.

    L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE*) n’a pas, en tant que telle, directement participé à la manifestation parisienne pour les droits des femmes. Cependant, association progressiste, l’UJRE a toujours soutenu les combats féministes, pour l’égalité entre les femmes et les hommes, en France et dans le monde.

    En outre, l’UJRE participe au combat pour le respect des droits des Palestiniens, pour une solution politique à deux États, permettant la résolution du conflit israélo-palestinien dans le respect des droits de tous et de la sécurité des deux États.

    Lors de la manifestation du 8 mars pour les droits des Femmes, les collectifs “Nous vivrons” et “No silence“, en accord avec les organisatrices, ont appelé et participé au cortège en rappelant les violences sexistes et sexuelles dont ont été victimes un certain nombre de femmes israéliennes lors de l’attaque terroriste perpétrée par le Hamas le 7 octobre, ayant débouché sur le terrible massacre que l’on sait et la prise d’otages dont on attend encore la libération.

    De graves incidents se sont produits, alors qu’il n’y avait aucun soutien affiché à Israël ou à son armée, les femmes qui ont défilé avec les collectifs Nous vivrons et No silence ont été harcelées, agressées, insultées, c’est-à-dire traitées de « fascistes », comme les membres du service d’ordre du Service de Protection de la Communauté juive (SPCJ) auquel elles avaient fait appel à la suite des incidents survenus lors de la manifestation du 25 novembre 2023.

    Les membres du SPCJ, organisation apolitique constituée après l’attentat de la rue Copernic en 1982, ont été dénoncés comme étant membres de la Ligue de Défense juive, organisation d’extrême droite, ce qu’ils ne sont pas.

    Cette violence a abouti à la nécessité d’exfiltrer ces deux collectifs et leur service d’ordre du cortège, afin de protéger leur intégrité physique.

    L’UJRE condamne cette violence antisémite inadmissible, qui n’aide aucunement l’avancée vers la paix au Proche-Orient et ailleurs, et n’apporte rien à la solidarité indispensable avec le peuple palestinien.

    Bureau de l’UJRE,

    Paris le 19 mars 2024

  • Conférence : L’Antisémitisme sous le régime de Vichy

    L’Antisémitisme sous le régime de Vichy

    Samedi 23 mars 2024 à 17h

    14 rue de Paradis, 75010 Paris

    Conférence débat avec Laurent Joly, historien et directeur de recherche au CNRS.

    La conférence-débat sera suivie du traditionn,el verre de l’amitiés et d’une vente-dédicace de quelques ouvrages:

    • L’État contre les juifs. Les nazis et la persécution antisémite, 2018
    • La Falsification de l’histoire, 2022
    • La Rafle du Vel d’Hiv: Paris juillet 1942, 2022
    • Cabu, la rafle du Vel d’Hiv: Dessins présentés par Laurent Joly, 2022

    Inscription obligatoire (préciser si en présentiel ou par visioconférence) par courriel adressé à secretariat@ujre.fr ou message sur le répondeur du 01 47 70 62 16

  • Manifestons pour un Cessez-le-feu immédiat à Gaza

    Paris, Place de la République, le 9 mars 2024

    Nous nous joignons aux appels du Mouvement de la Paix “Pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza avant le Ramadan ! Pour la paix et la justice au Proche-Orient” et de celui d’Une Autre Voix Juive (UAVJ). Nous vous invitons à nous rejoindre nombreux, au même point de rendez-vous que nos amis d’UAVJ:

    SAMEDI 9 MARS à 13h45 à l’angle de la place de la République et de la rue du Temple

    Le Mouvement de la Paix appellant à :

    • Agir pour obtenir un cessez-le-feu immédiat (avant le Ramadan) et permanent.
    • Contraindre Israël à se conformer à la décision de la Cour Internationale de Justice.
    • Exiger la libération des otages détenus par le Hamas dans la bande de Gaza.
    • Exiger la libération des prisonniers politiques palestiniens.
    • Exiger des enquêtes indépendantes et que justice soit rendue auprès de la CIJ pour tous les crimes de guerre.
    • Agir pour la levée du blocus de Gaza et l’arrêt de la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, comme le prévoient les résolutions de l’ONU.
    • Reconnaitre l’État de Palestine, comme vient de le faire l’Espagne, ouvrant la voie d’une solution à 2 Etats permettant l’autodétermination du peuple palestinien
    • Agir dans l’Union européenne pour que celle-ci suspende son accord d’association avec Israël qui est conditionné à l’application des droits humains.
    • Suspendre toute coopération militaire avec l’État d’Israël.
    • Faire des propositions pour la mise en place d’une force d’interposition et de protection des Nations-Unies
    • Agir pour une conférence internationale pour la paix au Moyen-Orient sous l’égide des Nations-Unies

    Une Autre Voix Juive appellant à une Conférence Internationale de Paix sous l’égide de l’ONU pour que cessent les massacres et pour ouvrir le chemin d’une Paix Juste négociée, durable destinée à faire respecter les droits fondamentaux du peuple palestinien, les résolutions de l’ONU, et les conditions d’indépendance et de sécurité pour le peuple palestinien comme pour le peuple israélien.

    Sous la pluie, cette manifestation avec une belle assistance, a permis à la solidarité d’exprimer dignement à Paris la solidarité populaire envers le peuple palestinien et l’exigence de paix. La présence solidaire d’UAVJ et de l’UJRE était positivement et fraternellement saluée, avec grande émotion, tout au long du cortège.

  • Projection: “Cité de la Muette”

    L’UJRE relaie une annonce du programme de Ciné Archives :

    Projection de “Cité de la Muette” (Jean-Patrick Lebel, 1986)

    Au Centre Pompidou – BPI – Cinéma 2 – Niveau -1 (Paris, 75004)

    Le 7 mars 2024, 20 heures

    Premier documentaire consacré au camp de Drancy, principal centre d’internement des Juifs français et étrangers avant leur extermination en Europe de l’Est durant la Seconde Guerre mondiale, Cité de la Muette de Jean-Patrick Lebel ausculte les lieux de l’internement, exhume des archives et, surtout, donne la parole aux témoins.

    C’est la caméra de Dominique Chapuis, l’un des deux principaux chefs opérateurs de Shoah qui accueille les témoignages et scrute les lieux.

    Séance présentée par Tangui Perron (docteur en histoire, programmateur) dans le cadre de la Cinémathèque idéale des banlieues du monde.