• Pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza et pour un accès sans entraves de l’aide humanitaire

    Place de la République, Paris 14h00

    L’UJRE, dans la continuité de ses engagements pour la recherche d’une paix juste au Proche-Orient, basée sur le droit de l’État d’Israël à la sécurité et celui du peuple palestinien à un État, condamnant la cruauté inadmissible et les ravages de la politique du gouvernement israélien envers le peuple palestinien, mais aussi envers les démocrates israéliens, nous nous joignons à l’appel intersyndical dont nous partageons les objectifs:

    Les organisations syndicales CFDT, CGT, Unsa, Solidaires et FSU dénoncent la fuite en avant mortifère des autorités israéliennes et les exactions commises à Gaza. Les habitants de l’enclave palestinienne subissent depuis plus de 600 jours des bombardements indiscriminés, des déplacements forcés et une famine imposée aux civils comme méthode de guerre. Avec un sentiment d’impunité, le gouvernement israélien exprime, au fil des déclarations et sans complexes, des intentions génocidaires et entraîne Israël dans une faillite morale avec le silence complice d’une partie des décideurs et sous le regard impuissant de la communauté internationale.

    La CFDT, la CGT, l’Unsa, Solidaires et la FSU dénoncent l’opportunisme du gouvernement israélien qui mène, à nouveau, une colonisation à marche forcée en Cisjordanie y compris à Jérusalem-Est. L’occupation, l’annexion et le déplacement de population sont inacceptables et constituent des crimes au regard du droit international.

    Les dirigeants européens ont les moyens d’agir comme ils l’ont fait à d’autres occasions. Ils doivent prendre leurs responsabilités au regard du droit international et mettre tout en œuvre pour stopper l’intolérable agonie du peuple palestinien en imposant un cessez-le-feu immédiat, sans condition et permanent, à Gaza. Ainsi que la reprise immédiate de l’aide humanitaire et l’ouverture des points de passage aux équipes de secours et aux journalistes.

    Les organisations syndicales CFDT, CGT, Unsa, Solidaires et FSU appellent les décideurs français et européens à aller au-delà des déclarations d’indignation et à agir immédiatement pour :

    • La suspension de l’accord d’association UE – Israël.
    • Un arrêt de fourniture d’armes et de matériel militaire à Israël.
    • L’application de la résolution des Nations-Unies du 18 septembre 2024, pour mettre fin à l’occupation du territoire palestinien, de la colonisation et de l’apartheid
    • Un soutien à la Cour pénale internationale et à la Cour internationale de justice pour le respect de leurs décisions visant notamment à mettre fin aux exactions du gouvernement israélien qui participent des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et risque de génocide.
    • La libération de tous les prisonniers politiques palestiniens, et de tous les otages israéliens détenus par les groupes armés palestiniens.
    • La reconnaissance de l’État de Palestine dans le cadre du droit à autodétermination du peuple palestinien.
    • La construction d’un avenir de paix entre Palestiniens et Israéliens fondé sur l’égalité des droits.

    Nous saluons les initiatives multiples en France et dans le monde, y compris en Israël, qui dénoncent cette guerre. Nous appelons à nous mobiliser massivement le 14 juin à Paris et partout en France, dans le cadre du week-end mondial de mobilisations, pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza et pour un accès sans entraves de l’aide humanitaire.

    Nous appelons à une grande manifestation intersyndicale au départ de la Place de la République à Paris le 14 juin à 14h00

     

     

  • Vandalisme antisémite

    Mur des Justes souillé à la peinture verte, le 31 Mai 2025

    De nouveaux actes antisémites

    Le Mémorial de la Shoah, deux synagogues et un restaurant, situés dans le centre de Paris, ainsi qu’une troisième synagogue dans le XX e arrondissement, ont été aspergés de peinture verte dans la nuit de vendredi à samedi 31 mai.

    Ces actes antisémites insupportables confirment, s’il en est encore besoin, que l’antisémitisme en France n’est pas un phénomène résiduel, bien au contraire.

    Les auteurs de ces actes de vandalisme ne s’en prennent pas uniquement à des lieux de culte. Par ces actes abjects, en prenant pour cible le Mémorial de la Shoah, ils salissent un haut lieu de la mémoire qu’il est indispensable de protéger par tous les moyens.

    Hasard ou pas du calendrier, ces dégradations interviennent dans la période où nous célébrons la Journée nationale de la résistance, l’anniversaire de la Victoire contre les nazis et leurs collaborateurs pétainistes et, prochainement, celui de la Libération de la France.

    L’UJRE condamne avec la plus grande fermeté ces profanations et réclame avec vigueur que les autorités fassent toute la lumière et que les coupables soient jugés de façon exemplaire.

    Paris, le 1 er juin 2025

  • Stop aux massacres!

    Lundi 26 Mai 2025, 19 heures

    Parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris

    Après des milliers de morts, face à la situation tragique imposée aux civils à Gaza, bombardés et affamés par l’acharnement criminel du gouvernement Netanyahou, confirmons notre réprobation et notre vigilance par une large présence au sein de la manifestation ce lundi !

    Un cessez-le feu immédiat, le libre passage de l’assistance humanitaire, le retrait des troupes et la mise en oeuvre d’une solution conforme aux résolutions de l’ONU doivent être imposés.

    Stop aux massacres – site internet du PCF

    Le Mouvement de la paix appelle à participer massivement au rassemblement de soutien au peuple palestinien le 26 mai au Trocadéro

  • Présentation-débat de la BD “Vous n’aurez pas les enfants!”

    Vous n’aurez pas les enfants

    Samedi 17 mai 2025 à 15h00*

    14, rue de Paradis, Paris 10°

    Nos 3 associations du “14” – MRJ-MOI, AACCE et UJRE – vous invitent à la rencontre-débat avec les auteurs du roman graphique Valérie Portheret, historienne, Arnaud Le Gouëfflec, scénariste et Olivier Balez, coloriste et dessinateur, à l’occasion de la sortie de la BD « Vous n’aurez pas les enfants » Ed. Glénat, tirée du livre au titre éponyme de Valérie Portheret, sorti en février 2020.

    Valérie Portheret, historienne, auteur de l’ouvrage éponyme, qui signe ici la préface et un dossier historique.

    Cet ouvrage relate une opération exceptionnelle : le plus important sauvetage d’enfants juifs en France pendant l’Occupation.

    Dans la nuit du 28 au 29 août 1942, 108 enfants juifs étrangers, internés avec leurs parents dans le camp de Vénissieux, sont sauvés de la déportation grâce au courage, à l’intelligence, à un remarquable élan de solidarité de sauveteurs juifs et non juifs.

    Dans les heures qui suivent la mise à l’abri de ces enfants, alors que la police les recherche activement sur ordre du préfet, les mouvements de Résistance distribuent un tract intitulé «Vous n’aurez pas les enfants» qui en appelle à la conscience des Lyonnais.

    Cette rencontre-débat sera suivie d’une vente-dédicace de la BD

    Inscription indispensable : en cliquant ICI

    * Ouverture des portes à 14h45

  • 82ème Anniversaire du soulèvement du ghetto de Varsovie

    82ème Anniversaire

    Soulèvement et destruction du ghetto de Varsovie

    A Varsovie, le ghetto juif créé en 1940, le plus important de la Seconde Guerre mondiale, fut le 19 mars 1943 le premier à se soulever contre les nazis, le premier à les repousser hors du ghetto.
    L’insurrection, préparée par Mordechaï Anielewicz et Joseph Lewartowski de l’Organisation Juive de Combat — qui organisait la Résistance en diffusant tracts et brochures — dura près de deux mois et s’acheva le 16 mai 1943 par la destruction totale du ghetto. Le général SS, Jürgen Stroop, abasourdi par le courage et l’héroïsme des insurgés put enfin annoncer à Himmler, Reichsfürer-SS: «l’ancien quartier d’habitations juives de Varsovie n’existe plus».
    Cette insurrection battit en brèche le cliché des Juifs se laissant mener à l’abattoir comme des moutons.[1]
    Symbole de la Résistance possible des Juifs, exemple et signal d’autres révoltes, dans d’autres ghettos et dans certains centres de mise à mort, elle renforça l’engagement dans la lutte armée, en France ce sera le secteur juif de la MOI et ses FTP-MOI et les groupes de combat de l’UJRE.
    Symbole qui motivera de nombreux nouveaux combattants pour l’anéantissement du nazisme et la libération de la France.[2]
    [1] Lucien Steinberg, Pas comme des moutons. Les Juifs contre Hitler, Éd. des Balustres, 2012, 600p.
    [2] Article de Charles Lederman, Il y a 51 ans, le ghetto de Varsovie, paru dans L’Humanité du 25/04/1994

  • Marche Intergénérationnelle pour la mémoire et la transmission

    Marche Intergénérationnelle pour la mémoire et la transmission

    Dimanche 27 avril 2025, 15 h 45

    Rendez-vous à l’angle de la rue du Dragon et la rue de Sèvres, 75006 Paris

    Dans le cadre des commémorations du 80ème anniversaire de la Libération, nous vous invitons à participer aux évènements annoncés autour de nombreux lieux de la Journée nationale du Souvenir des victimes et héros de la Déportation. Ainsi, l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide se joint à nombre d’associations mémorielles à participer le dimanche 27 avril 2025 à la marche intergénérationnelle pour affirmer la nécessité de la mémoire et de la transmission et célébrer l’idéal républicain et ses valeurs fondamentales.

    Initiée par l’Union des déportés d’Auschwitz, une Marche intergénérationnelle pour la mémoire et la transmission est organisée à Paris le dimanche 27 avril après-midi à l’occasion de la Journée nationale de la Déportation.

    Au printemps et au début de l’été 1945, quelques dizaines de milliers de rescapés des camps nazis déportés de France retrouvent leur pays.

    Parmi eux, près de 4 300 survivants de la Shoah sur les 76 000 déportés juifs de France.

    80 ans après, la France se souvient et honore ces hommes et ces femmes par-delà les singularités historiques des déportations, qu’elles soient victimes d’un génocide, victimes de la répression et des persécutions du IIIeReich appuyé par l’État français de l’époque.

    Depuis l’automne 2024, de nombreuses initiatives ont jalonné la commémoration de la découverte des camps et du retour des déportés.

    À l’initiative de l’Union des déportés d’Auschwitz, en partenariat avec le Ministère des Armées, la Mission du 80e anniversaire des débarquements,  de la Libération de la France et de la Victoire, la Fondation pour la mémoire de la Shoah, le Mémorial de la Shoah, l’Office national des Combattants et Victimes de Guerre et la Mairie de Paris, retrouvons-nous à Paris à l’occasion de la Journée nationale de la Déportation le dimanche 27 avril autour d’un seul mot-d’ordre, d’un seul impératif affirmant la nécessité de la mémoire et de la transmission et célébrant l’idéal républicain et ses valeurs fondamentales.

    Issus de toutes les générations, touchés dans nos familles ou amis, venons marcher ensemble autour des derniers survivants, dans la dignité et la vigilance.

    Les participants sont invités à s’associer aux cérémonies traditionnelles au Mémorial de la Shoah puis au Mémorial des martyrs de la Déportation.

    Premiers soutiens:

    Union des associations de mémoire des camps nazis, Amis de la Fondation pour la mémoire de la Déportation, Fonds Social Juif Unifié, Association des professeurs d’Histoire et de Géographie, Commission du souvenir du Conseil représentatif des institutions juives de France, Fils et Filles des déportés juifs de France, Amitié Judéo-Chrétienne de France, Comité français pour Yad Vashem, FARBAND-Union des Sociétés Juives de France, Association Fonds Mémoire d’Auschwitz, Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah, Conseil National pour la Mémoire des  Enfants Juifs Déportés, Association française pour l’hommage de la Communauté juive de France aux Gardiens de la Vie, Amicale des anciens déportés de Bergen-Belsen, Association Convoi 1, Mémoires du convoi 6 et des camps du Loiret, Les Familles et Amis des déportés du convoi 73, Association Convoi 77, Association convoi 68, Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide, MRJ-MOI, Muestros Dezaparesidos, Vidas Largas, Collectif des anciens enfants cachés et leurs descendants, Les anciens de l’OPEJ, Les amis de la commission centrale de l’enfance, Liberté du Judaïsme, Les Enfants et Amis Abadi, Collectif “Histoire et Mémoire” de Nîmes, Réseau Deuxième Génération de Genève. Ainsi que Éclaireuses et Éclaireurs Israélites de France, Hashomer Hatzaïr

    La Marche débutera à 15 h 45 à l’angle de la rue du Dragon et de la rue de Sèvres jusqu’à la place Le Corbusier, face à l’Hôtel Lutetia, symbole du retour des déportés où une cérémonie officielle se déroulera, sous l’égide de madame Patricia Mirallès, ministre déléguée auprès du ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants.

  • Engagement de la France pour la reconnaissance de l’état de Palestine

    Le moment est venu !

    L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE) prône une paix juste et durable au Proche-Orient, fondée sur l’ensemble des résolutions des Nations Unies, et en particulier la reconnaissance de l’État de Palestine, aux côtés de celui d’Israël, dans ses frontières de 1967.

    Elle salue les déclarations du président de la République française visant à engager dans le cadre des Nations Unies, à la suite d’autres pays de l’Union Européenne qui l’ont déjà fait, le processus de reconnaissance par la France de l’État de Palestine.

    Cette annonce renoue avec une ligne diplomatique française d’équilibre au Proche-Orient, après une période d’effacement malgré toutes les provocations du chef de l’État israélien actuel ; elle marque une avancée que nous recevons positivement.

    Alors que les terroristes du Hamas détiennent encore des otages dont la vie importe vraisemblablement peu au gouvernement israélien d’extrême droite, ce dernier poursuit destructions et crimes de masse à Gaza et encourage les exactions des colons suprémacistes dans les territoires occupés de Palestine.

    Nous souhaitons que les propos tenus par la présidence de la République soient suivis de mesures marquant une nouvelle détermination française à contrer efficacement la poursuite de la politique de colonisation israélienne et à relancer des perspectives de négociation et de paix. En particulier, il nous semble incontournable qu’elle intervienne au sein de l’Union Européenne pour que l’accord d’association UE-Israël soit immédiatement suspendu.

    Comme le montrent les grandes manifestations de citoyens israéliens pour la défense de l’État de droit, les principes démocratiques et laïques, qui ont prévalu quand Israël est devenu membre des Nations Unies à la suite de sa Déclaration d’indépendance, peuvent être restaurés. De même, avec de nouvelles perspectives, les forces démocratiques au sein d’une société palestinienne, non moins pluraliste que la société israélienne, pourraient retrouver la force d’expression qui leur a été retirée par l’affaiblissement de leurs structures de représentation.

    L’UJRE continuera d’encourager tous les efforts pour mobiliser l’opinion démocratique en faveur d’une solution «à deux États», trop longtemps attendue, étape pratique et symbolique incontournable d’une reconnaissance réciproque, garantie par des instances internationales, ouvrant vers des horizons de construction pacifique et de prospérité pour les peuples.

    En octobre 2014, le ministre français des Affaires étrangères et du Développement international déclarait que la reconnaissance de l’État de Palestine interviendrait «le moment venu». En décembre 2014, l’Assemblée nationale invitait «le Gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit».
    Dix ans ont passé. Oui, le moment est vraiment venu et nous semble n’avoir déjà que trop tardé!

    Il est grand temps que la France prenne ses responsabilités.

    Paris, le 14 avril 2025

  • Rassemblements en France et à Paris pour la défense de l’état de droit

    Appel de la société civile pour la défense de l’état de droit

    Le 31 mars, à l’issue de longues années de procédure et d’un débat judiciaire contradictoire, le Rassemblement national ainsi que des élus et des cadres du mouvement d’extrême droite ont été condamnés pour détournements de fonds publics. Marine Le Pen, qui était présidente du parti et parlementaire européenne au moment des faits, est la personne la plus lourdement condamnée : 5 ans d’inéligibilité avec exécution provisoire et 4 ans de prison, dont 2 avec sursis.

    Depuis l’annonce de ce verdict qui découle de la seule application de la loi par des juges indépendants, le Rassemblement national a choisi de dénoncer la décision de justice en des termes aussi abusifs que choquants. Il a accrédité l’idée d’un « complot » mené par un « gouvernement des juges », s’attirant ainsi les soutiens enthousiastes des figures mondiales de l’extrême droite que sont Trump, Musk, Bolsonaro, Poutine, Orban ou Salvini. Encore plus inquiétant, ces critiques d’une décision de justice ont été plus largement relayées par des élus et responsables politiques d’autres partis, y compris le Premier ministre, et par un grand nombre de médias peu soucieux de la réalité des faits.

    Ces sorties ont immédiatement entraîné des menaces à l’endroit des magistrats qui ont rendu leur jugement collégialement.

    Derrière cette violente attaque contre l’État de droit et les magistrats qui le servent, se dessine le refus de ce qu’il implique : un traitement égal de toutes et tous, personne ne pouvant réclamer l’application de privilèges liés à sa naissance, à son statut social ou à sa notoriété. Certes, ces attaques qui visent à remettre en cause le fondement de nos institutions protectrices des droits et de l’égalité devant la loi ne sont pas nouvelles. Mais elles se sont dangereusement multipliées ces dernières années.

    Fermement attachés à l’égalité de toutes et de tous devant la loi, nous sommes nécessairement attachés à l’État de droit qui deviendrait un concept vide si l’indépendance de la justice n’était pas respectée.

    Nous savons également que l’État de droit nous protège d’un autre fléau. Car, garantie de l’exercice de droits et des libertés fondamentales, l’État de droit est également ce qui contribue à ce que les relations qui se nouent entre les citoyennes et les citoyens ne soient pas abandonnées à la violence, à la force, aux pouvoirs sans limites, aux mauvaises passions mais puissent être régulées par des normes juridiques. A l’heure où les haines racistes et antisémites, le masculinisme et les offensives anti-IVG ainsi que le mépris des habitats naturels connaissent une vigueur renouvelée, l’État de droit nous apparaît d’autant plus précieux.

    Garantie d’impartialité, de traitement égal devant la loi et de refus de la violence dans les relations, l’État de droit – indissociable d’une démocratie effective et de la protection des droits humains – résonne avec nos convictions. Celles qui nous animent lorsque nous refusons les injustices sociales et environnementales, les racismes, l’antisémitisme, la xénophobie, le sexisme, les LGBTphobies et toutes les idéologies qui visent à faire primer l’exploitation, l’oppression, les haines et les peurs sur le respect de toutes et de tous.

    Parce que nous défendons la démocratie et les principes qui la fondent, nous, organisations de la société civile, appelons toutes celles et tous ceux qui partagent ces principes à exprimer leur attachement à la justice et à l’État de droit en se rassemblant le samedi 12 avril 2025 dans toutes les villes de France.

    À Paris, nos organisations donnent rendez-vous Place de la République à partir de 17h.

    Organisations signataires :
    Amnesty international France, Association des Parents et futurs parents Gays et lesbiens (APGL), ATTAC, Au Tambour !, Cercle Olympe de Gouges, La Cimade, Collectif Alertes Féministes, Collectif Golem, Collectif national pour les Droits des Femmes, Comité marche du 23 mai 1998 (CM98), Confédération Générale du Travail (CGT), Coordination 75 des Sans Papiers (CSP75), Démocratie Ouverte, Fédération des Associations Générales Etudiantes (FAGE), Fédération Indépendante et Démocratique Lycéenne (FIDL), Fondation Copernic, France Fraternités, France terre d’asile, Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Greenpeace France, Jalons pour la Paix, Ligue de l’Enseignement, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), LOBA, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Nous Toutes, Nos services publics, Osez le féminisme !, Oxfam France, le Planning Familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), SOS Homophobie, SOS Racisme, Stop Homophobie, Syndicat de la Magistrature, Syndicat des Avocats de France (SAF), Transparency International France, Une Autre Voix Juive (UAVJ), Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), Union Etudiante, Union Maintenant, Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), Union syndicale Solidaires.

    Carte des rassemblements en France et à Paris pour la défense de l’état de droit