Rassemblements en France et à Paris pour la défense de l’état de droit
Appel de la société civile pour la défense de l’état de droit
Le 31 mars, à l’issue de longues années de procédure et d’un débat judiciaire contradictoire, le Rassemblement national ainsi que des élus et des cadres du mouvement d’extrême droite ont été condamnés pour détournements de fonds publics. Marine Le Pen, qui était présidente du parti et parlementaire européenne au moment des faits, est la personne la plus lourdement condamnée : 5 ans d’inéligibilité avec exécution provisoire et 4 ans de prison, dont 2 avec sursis.
Depuis l’annonce de ce verdict qui découle de la seule application de la loi par des juges indépendants, le Rassemblement national a choisi de dénoncer la décision de justice en des termes aussi abusifs que choquants. Il a accrédité l’idée d’un « complot » mené par un « gouvernement des juges », s’attirant ainsi les soutiens enthousiastes des figures mondiales de l’extrême droite que sont Trump, Musk, Bolsonaro, Poutine, Orban ou Salvini. Encore plus inquiétant, ces critiques d’une décision de justice ont été plus largement relayées par des élus et responsables politiques d’autres partis, y compris le Premier ministre, et par un grand nombre de médias peu soucieux de la réalité des faits.
Ces sorties ont immédiatement entraîné des menaces à l’endroit des magistrats qui ont rendu leur jugement collégialement.
Derrière cette violente attaque contre l’État de droit et les magistrats qui le servent, se dessine le refus de ce qu’il implique : un traitement égal de toutes et tous, personne ne pouvant réclamer l’application de privilèges liés à sa naissance, à son statut social ou à sa notoriété. Certes, ces attaques qui visent à remettre en cause le fondement de nos institutions protectrices des droits et de l’égalité devant la loi ne sont pas nouvelles. Mais elles se sont dangereusement multipliées ces dernières années.
Fermement attachés à l’égalité de toutes et de tous devant la loi, nous sommes nécessairement attachés à l’État de droit qui deviendrait un concept vide si l’indépendance de la justice n’était pas respectée.
Nous savons également que l’État de droit nous protège d’un autre fléau. Car, garantie de l’exercice de droits et des libertés fondamentales, l’État de droit est également ce qui contribue à ce que les relations qui se nouent entre les citoyennes et les citoyens ne soient pas abandonnées à la violence, à la force, aux pouvoirs sans limites, aux mauvaises passions mais puissent être régulées par des normes juridiques. A l’heure où les haines racistes et antisémites, le masculinisme et les offensives anti-IVG ainsi que le mépris des habitats naturels connaissent une vigueur renouvelée, l’État de droit nous apparaît d’autant plus précieux.
Garantie d’impartialité, de traitement égal devant la loi et de refus de la violence dans les relations, l’État de droit – indissociable d’une démocratie effective et de la protection des droits humains – résonne avec nos convictions. Celles qui nous animent lorsque nous refusons les injustices sociales et environnementales, les racismes, l’antisémitisme, la xénophobie, le sexisme, les LGBTphobies et toutes les idéologies qui visent à faire primer l’exploitation, l’oppression, les haines et les peurs sur le respect de toutes et de tous.
Parce que nous défendons la démocratie et les principes qui la fondent, nous, organisations de la société civile, appelons toutes celles et tous ceux qui partagent ces principes à exprimer leur attachement à la justice et à l’État de droit en se rassemblant le samedi 12 avril 2025 dans toutes les villes de France.
À Paris, nos organisations donnent rendez-vous Place de la République à partir de 17h.
Organisations signataires :
Amnesty international France, Association des Parents et futurs parents Gays et lesbiens (APGL), ATTAC, Au Tambour !, Cercle Olympe de Gouges, La Cimade, Collectif Alertes Féministes, Collectif Golem, Collectif national pour les Droits des Femmes, Comité marche du 23 mai 1998 (CM98), Confédération Générale du Travail (CGT), Coordination 75 des Sans Papiers (CSP75), Démocratie Ouverte, Fédération des Associations Générales Etudiantes (FAGE), Fédération Indépendante et Démocratique Lycéenne (FIDL), Fondation Copernic, France Fraternités, France terre d’asile, Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Greenpeace France, Jalons pour la Paix, Ligue de l’Enseignement, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), LOBA, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Nous Toutes, Nos services publics, Osez le féminisme !, Oxfam France, le Planning Familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), SOS Homophobie, SOS Racisme, Stop Homophobie, Syndicat de la Magistrature, Syndicat des Avocats de France (SAF), Transparency International France, Une Autre Voix Juive (UAVJ), Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), Union Etudiante, Union Maintenant, Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), Union syndicale Solidaires.Carte des rassemblements en France et à Paris pour la défense de l’état de droit
L’extrême droite antisémite invitée par le gouvernement israélien: paradoxe honteux!
Paradoxe honteux!
Le gouvernement israélien actuel, d’extrême droite, cherche des appuis en Europe, et dans le reste du monde, pour mener à bien une politique de plus en plus désapprouvée. Pour ce faire, il n’hésite pas à faire appel à des régimes connus pour leur antisémitisme, notamment celui de Victor Orban, et à inviter des partis d’extrême droite nationaliste et racistes européens à sa conférence internationale sur l’antisémitisme à Jérusalem.
Cette conférence prend le tour d’une réunion internationale de l’extrême droite, la plupart des invités, non liés à ces partis, ayant annulé leur participation du fait de la participation de Jordan Bardella (Rassemblement national) et de Marion Maréchal (Identité-Libertés).
Au prétexte que les Arabes sont leurs ennemis communs, le RN n’hésite pas à soutenir le gouvernement d’un pays qui prétend défendre la cause des juifs du monde entier. Si, conjoncturellement, il prétend combattre l’antisémitisme, comment peut-il le faire avec des racistes et des xénophobes ?
Dans un bel élan philosémite, il dénonce aussi l’attitude de méfiance du CRIF qui met en cause, et à juste titre, l’invitation de Jordan Bardella en Israël. Marine Le Pen, en pleine démagogie électoraliste, appelle les Juifs de France à « dégauchir » le CRIF et, sans sourciller, vient faire la leçon à une organisation qui ne demande pas tant de sollicitude, surtout venant d’un parti d’extrême droite.
Née dans la résistance à l’occupant nazi, l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), choquée par l’invitation de personnalités d’affiliation néofasciste, qui saluent le bras tendu, condamne l’invitation par le gouvernement israélien d’un parti fondé notamment par d’anciens SS et membres de l’OAS, et dont le leader actuel refuse de dénoncer l’antisémitisme avéré de son fondateur, qui l’a dirigé pendant quarante ans.
L’UJRE, fidèle aux valeurs qui ont présidé à sa création, poursuit sa lutte contre tous les amalgames (juif/israélien, antisioniste/antisémite) et ne saurait dissocier la lutte, spécifique, contre l’antisémitisme de celle contre tous les racismes, sans exception aucune : racisme anti-arabe, discriminations qui s’abattent sur diverses minorités (ethniques, religieuses, de genre …).
Le Bureau de l’UJRE
Paris le 26 mars 2025
Contre la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, gagnons l’égalité des droits!
Appel collectif dans le cadre de la Journée internationale contre le racisme:
rassemblement le samedi 22 mars 2025 à 14h place de la République à Paris
Nous appelons donc aussi à participer à cette manifestation et à nous exprimer contre la montée de l’intolérance et de la haine et pour l’égalité des droits.
L’UJRE appelle à participer partout en France, aux différents événements qui vont marquer cette semaine du 17 au 21 mars 2025, comme la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme que lance chaque année le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.
Tout en regrettant l’absence de l’expression « lutte contre l’antisémitisme » dans l’appel collectif lancé par la Ligue des Droits de l’Homme : « Né.e.s ici ou venu.e.s d’ailleurs, l’égalité des droits c’est pour toutes et tous ! Uni.e.s contre le racisme ! », l’UJRE le signe et soutient cet appel.
PJ 1 : l’appel du collectif lancé par la LDH (Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme !)
PJ 2 : l’appel du PCF (Contre la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme, gagnons l’égalité des droits !)
Révoltant !
Une affiche clairement antisémite
Pour appeler à la manifestation du 22 mars contre le racisme et pour l’égalité des droits, la France Insoumise a commis une affiche clairement antisémite représentant Hanouna à la manière d’une caricature nazie de 1940.
Affiche rapidement retirée et remplacée devant le tollé suscité.
Loin de nous l’idée de soutenir Hanouna, provocateur raciste et d’extrême droite.
Mais nous nous insurgeons contre cette manifestation d’antisémitisme virulent.
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE), organisation juive, laïque et progressiste, dénonce avec force toutes formes d’antisémitisme, d’où qu’elles proviennent et quelle qu’en soit la cible.
L’année où l’on commémore les 80 ans de la victoire sur le nazisme et ses collaborateurs, une telle affiche reprenant les thèmes antisémites de l’idéologie nazie est encore plus révoltante.
UJRE
17 mars 2025Avec tous tes frères étrangers – de la MOE aux FTP MOI
Conférence-débat avec Jean Vigreux
8 mars 2025, à 15 heures
14 rue de Paradis, 75010 Paris
L’année où nous allons célébrer les 80 ans de la victoire sur le nazisme, la xénophobie est malheureusement plus que jamais présente avec toujours l’immigré comme bouc-émissaire. En témoignent les récentes élections en Allemagne avec une poussée de l’extrême-droite, la mise en œuvre de politiques anti-migratoires de Donald Trump, la poursuite de la politique xénophobe d’Orban en Hongrie et de Meloni en Italie, etc…
Jean Vigreux viendra dans nos locaux présenter son livre “Avec tous tes frères étrangers – de la MOE aux FTP MOI” traitant de l’apport des étrangers en France et précisément leur rôle pour défendre pendant la seconde guerre mondiale leur pays d’accueil.
Il reste encore quelques places pour cette conférence-débat, le nombre de places étant limité il est nécessaire de s’inscrire au préalable et c’est en cliquant ICI
Cérémonie en mémoire des 23 résistants du groupe “Manouchian-Boczov”
Dimanche 23 février
à 11 heures au Carré des Fusillés du Cimetière parisien d’Ivry
L’UJRE, membre du Comité parisien de la Libération et du Comité de pilotage de la Journée nationale de la Résistance à Paris, présidé par Guy Hervy, relaie son appel à participer à la cérémonie en mémoire des 23 résistants du groupe “Manouchian-Boczov” fusillés le 21 février 1944.
Soyons nombreux ce dimanche à honorer leur mémoire en ces temps qui réclament plus que jamais vigilance et action !
Assassinat d’enfants israéliens
L’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE) considère la mort de tous les otages comme une tragédie, qui ne peut être que condamnée, et plus encore celle, ignominieuse, des enfants Bibas.
Elle rappelle la position affirmée par son Bureau, dans un communiqué du 8 octobre 2023 :
« Le bureau de l’UJRE condamne avec la plus grande fermeté l’attaque terroriste du Hamas qui s’en prend directement à la population civile d’Israël.
- Soutien au peuple israélien.
- Soutien à toutes les initiatives en faveur de la paix entre le peuple palestinien et le peuple israélien. »
Les prétextes à interrompre la libération des otages encore en vie doivent être écartés et le processus engagé poursuivi.
Bureau de l’UJRE
20 février 2025L’UJRE doit vivre
L’UJRE a besoin de votre aide!
- par chèque à l’ordre de U.J.R.E, à adresser à l’UJRE, 14 rue de Paradis, Paris 75010.
- par virement : IBAN: FR76 3000 4008 0700 0100 3000 541 / BIC : BNPAFRPPXXX
- en ligne avec HelloAsso: Je donne à l’UJRE
En ce début d’année 2025, nous nous adressons à vous et tenons à vous faire part de la situation extrêmement difficile dans laquelle se trouve l’UJRE.
Nous ne fonctionnons aujourd’hui que grâce aux adhésions (50 euros par an), aux abonnements à la PNM (70 euros pour 10 numéros par an) et aux dons.
D’un côté, nous constatons, comme beaucoup d’associations, une baisse structurelle du nombre de nos adhérents et abonnés, de l’autre une augmentation chaque année du coût de la vie et donc de nos charges fixes.
Dans des contextes internationaux et nationaux de plus en plus inquiétants, où le populisme et l’extrême droite progressent jusqu’à accéder au pouvoir dans bon nombre de pays, où les paroles et les actes antisémites augmentent de façon importante et permanente, la « survie » de l’UJRE est capitale.
Il est crucial que notre voix continue d’être entendue. Une voix juive, issue de la résistance, profondément progressiste et dont le but est la transmission, la lutte contre l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination.
Pour poursuivre nos actions à vocation mémorielle initiée par nos anciens, rescapés des camps nazis et, pour la plupart disparus, nous nous devons de continuer ce travail de fond. Pour cela, nous nous permettons de solliciter votre aide.
En parallèle, nous travaillons d’arrache-pied pour élargir notre rayonnement. Nous allons donc, dans les prochaines semaines, publier une lettre d’information électronique mensuelle, qui sera diffusée très largement et qui traitera des questions sociales, économiques, politiques, culturelles, et qui exposera le point de vue de l’UJRE sur ces points.
Nous allons rapidement améliorer notre site internet pour le rendre plus visible, plus réactif et surtout plus attractif.
Sur des sujets où nos points de vue convergent, nous allons organiser des initiatives avec des associations dont les objectifs sont proches des nôtres afin d’accroitre le nombre de contacts visés, comme nous le faisons déjà avec vos organisations, MRJ-MOI et l’AACCE.
Dans un souci d’économie, nous allons systématiser l’envoi des documents et de la presse au format numérique, pour les personnes volontaires disposant d’une adresse courriel, afin de diminuer nos coûts d’affranchissement.
Nous espérons vivement pouvoir compter sur votre soutien qui pourrait nous aider à franchir ce cap difficile.
27 janvier : « Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste » et « Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité »
La « solution finale de la question juive » est édictée par les nazis le 20 janvier 1942.
Le génocide industrialisé des Juifs – pourchassés sur tout le continent européen – s’exerce, en Pologne occupée, dans des centres de mise à mort : Chelmno (dès décembre 1941), Belzec, Sobibor, Treblinka, Madjanek et Auschwitz-Birkenau. En raison de sa taille et du nombre de ses victimes (Juifs très majoritairement mais aussi Tsiganes, Polonais opposants, prisonniers de guerre soviétiques, homosexuels…), le centre de mise à mort d’Auschwitz-Birkenau va devenir le symbole du « mal absolu ».
Mais, avant l’extermination par gazage, la machine de mort nazie a d’abord expérimenté la destruction des Juifs lors de féroces massacres de masse. Dès l’invasion de la Pologne par Hitler, le 1er septembre 1939, le pays devient un véritable laboratoire d’extermination. Les pogroms se multiplient et les tueries s’intensifient. Les Juifs sont précipités dans des abîmes ou alignés, nus, autour de fosses que souvent ils ont dû eux-mêmes creuser.
Ces massacres de masse, par revolvers ou mitrailleuses, sont répertoriés sous l’appellation de « Shoah par balles » tandis que les camions à gaz itinérants, les Gaswagen, constituent les prémices des centres de mise à mort industriels. C’est la première phase de la Shoah qui compte de très nombreuses victimes du génocide, avant même la mise en œuvre des chambres à gaz.
L’Holocauste, c’est l’assassinat systématique, réfléchi, organisé, planifié et industrialisé des populations juives d’Europe, qui a fait 6 millions de victimes, enfants et adultes, dont plus d’un million à Auschwitz- Birkenau.
Le camp-symbole de l’inhumanité d’Auschwitz-Birkenau (à la fois camp de concentration et centre de mise à mort géant) est libéré le 27 janvier 1945 par les troupes soviétiques. Quelques survivants raconteront…
L’Union des juifs pour la Résistance et l’entraide (UJRE), créée en 1943 pendant la résistance pour
combattre le nazisme, vous invite à participer nombreux :- À la commémoration-inauguration du monument Les rails de la Mémoire, dimanche 26 janvier à 10h à la Place Carnot à Lyon.
- À la cérémonie organisée par la Ville de Bobigny, lundi 27 janvier à 10h à la Gare de la Déportation de Bobigny (départ possible en bus à 9h30 de la place Yitzhak Rabin et Yasser Arafat de Bobigny).
- À la cérémonie organisée par le Mémorial de la Shoah, lundi 27 janvier à 12h30 sur le parvis du Mémorial – 17 rue Geoffroy l’Asnier (Paris 75004)
- À la cérémonie organisée par le Mémorial de la Shoah de Drancy, lundi 27 janvier à 14h00 au Mémorial de la Shoah de Drancy, 110 – 112 Av Jean Jaurès (Drancy 93700)
- À la cérémonie organisée par le RAAR (Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes), lundi 27 janvier à 18h00 au Mémorial du Vel d’Hiv – 7 rue Nélaton (Paris 75015)
- À toutes les initiatives locales de commémoration
14 rue de Paradis: Commémoration du 80ème anniversaire de la libération d’Auschwitz
Dans le cadre des commémorations du 80ème anniversaire de la libération du centre de mise à mort d’Auschwitz, les trois organisations du 14 rue de Paradis:
- l’Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide (UJRE),
- Mémoire des Résistants Juifs de la MOI (MRJ-MOI
- l’Association des Amis de la Commission Centrale de l’Enfance (AACCE),
ont le plaisir de vous inviter à la projection en leurs locaux du film de Jean Barat :
LA RÉSISTANTE ET L’ENFANT (durée 1h20).
- Samedi 25 janvier à 15h. séance complète
- Dimanche 26 janvier à 15h. séance complète
La résistante, c’est Eva Golgevit, du groupe Solidarité de la section juive de la MOI (Main-d’oeuvre Immigrée), mouvement de résistance communiste – l’enfant, c’est Jean, son fils qu’elle cache après avoir réchappé de la Rafle du Vel’ d’Hiv.
Ces deux projections seront suivies d’un débat en présence du réalisateur Jean Barat et de Jean Golgevit, le fils d’Eva, débat suivi du traditionnel pot de l’amitié.
Inscription obligatoire par courriel à rencontresau14@gmail.com
Désormais nous ne pouvons plus prendre d’inscriptions et nous envisagerons une autre projection, et vous invitons à nous retrouver lors des commémorations, comme sur le site de l’ancienne gare de déportation de Bobigny.